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Michelle Cailler
Présidente du MFR

“Refuser l’identité numérique, c’est choisir de préserver notre liberté et notre vie privée. Ne laissons pas les données définir qui nous sommes. Signez le référendum pour protéger notre humanité !”

https://www.eid-referendum.ch/

La surveillance et le contrôle numériques se développent de plus en plus. Le peuple suisse a mis un terme à cette situation en rejetant l’E-ID en 2021 par 64% de NON. Dans un mépris total de la volonté populaire, le Parlement veut maintenant introduire l’E-ID. C’est inacceptable ! Le peuple ne veut pas d’une identité électronique. Le Conseil des États a même décidé qu’à l’avenir, les référendums et les initiatives ne pourraient être signés qu’avec l’E-ID, et non plus à la main. Cela signifie : sans smartphone, pas de participation à la démocratie. MASS-VOLL! n’accepte pas cette réduction massive des droits populaires et lance le référendum contre l’E-ID !

 MASS-VOLL!, case postale, 8021 Zurich

 

La loi sur l’e-ID envisagée soulève d’importantes questions et préoccupations, en particulier en ce qui concerne la transparence, la protection des données et le contrôle étatique.
Voici les principaux points de critique :

  • La protection de la vie privée et des données personnelles est insuffisamment prise en compte.
  • L’e-ID pourrait créer une infrastructure reliant les données personnelles à l’échelle internationale et permettre un système de crédit social, menaçant la liberté individuelle et ouvrant la voie à un contrôle étendu et à l’abus des données personnelles.
  • L’e-ID est vulnérable aux cyberattaques et à la manipulation par l’IA, ce qui peut entraîner des vols d’identité et des abus de données.
  • Des mesures de sécurité insuffisantes et la gestion des données biométriques augmentent les risques pour la protection des données.
  • La délivrance de l’e-ID nécessite la collaboration avec des entreprises privées, ce qui en fait une solution non entièrement étatique.
  • Le code source de l’e-ID est publié de manière incomplète en raison des « droits de tiers » (pas de solution open-source).
  • La loi ouvre la porte à une surveillance numérique et menace les droits populaires.
  • Risque d’exclusion numérique des personnes moins familiarisées avec la technologie, en particulier les personnes âgées, qui pourraient être exclues de l’accès aux services.